L’infiltration d’éléments terroristes parmi les réfugiés qui afflueraient vers les frontières tunisiennes et la réaction des cellules terroristes, présentes en Tunisie et qui pourraient se réveiller, figurent parmi les principaux risques des retombées sécuritaires attendues en cas de frappes contre la Libye. »
C’est ce qu’a déclaré, samedi, le colonel-major Mokhtar Ben Nasr, retraité de l’Armée nationale et président du Centre tunisien des Etudes pour la sécurité globale, en marge d’un atelier de travail sur le thème de la société civile et la pensée extrémiste.
TAP