L’Instance Nationale de Lutte contre la Corruption (INLUCC) poursuit sa chasse de ceux qui n’ont pas encore déclaré leurs biens. Son président, Chawki Tabib, a assuré que des mesures concrètes ont commencé à être appliquées à leur encontre. De fait, pour certains, qui sont au nombre de 20, des soustractions ont été imposées sur leurs salaires.
Le président de l’INLUCC a souligné, dans une déclaration sur Shems FM, que des plaintes seront déposées auprès du ministère public dans les 10 jours à venir. Elles viseront ceux qui n’ont toujours pas déclaré leurs biens, qu’ils soient dirigeants au sein de partis, dirigeant au sein d’une association, journaliste, etc.
A titre d’information, selon la loi, toute personne n’ayant pas déclaré ses biens se verra privée du tiers de son salaire.