Une étape cruciale se profile dans le dossier de Rayen Hamzaoui, ancien maire d’Ezzahra, actuellement détenu dans le cadre d’une enquête liée à un complot contre la sécurité nationale. La Chambre d’accusation spécialisée, en charge des affaires de terrorisme auprès de la Cour d’appel de Tunis, se penchera ce jeudi sur sa demande de libération.
De lourdes accusations
L’ombre du complot contre la sûreté intérieure de l’État plane au-dessus de son arrestation, un incident qui l’a mis en lien avec deux anciens militaires à la retraite, membres du groupe notoirement identifié comme « Barraket Essahel ».
Dans le radar de la justice
Le juge en charge de l’instruction au sein du Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme a émis des mandats de dépôt à l’encontre de Rayen Hamzaoui ainsi que des militaires à la retraite. Ces individus sont suspectés d’avoir tissé des liens troubles, apparemment dans le dessein de porter atteinte à la stabilité de l’État et de se livrer à des actes de nature terroriste.
L’étape d’examen dévoile de nouveaux enjeux
Le passage à l’examen de la demande de libération ajoute une nouvelle couche de tension à cette saga. Les regards se tournent désormais vers la Chambre d’accusation spécialisée, qui devra peser avec minutie les éléments en jeu.