Lors de la réunion de l’Instance Nationale des Télécommunications, vendredi 17 février 2017, autour du sujet des téléphones portables imités et les téléphones volés ainsi que le marché parallèle, il est convenu d’appliquer la décision d’interdire les téléphones portables volés et ceux non adoptés par le centre des études et des recherches des télécommunications, et ce, à partir de la fin du mois de septembre 2017. Cette décision s’inscrit dans le cadre de l’exécution du programme de l’activité de l’Instance au titre de 2017. Elle vise à protéger l’économie nationale et le consommateur des dégâts matériels et sécuritaires ainsi que des effets néfastes sur la santé, engendrés par la commercialisation et l’usage de ces téléphones portables.
A savoir que certaines boutiques à Moncef Bey, Sidi Boumendil, Rue d’Athènes et Galerie 7 ainsi que d’autres boutiques dans la capitale vendent des téléphones portables imités et seront donc concernés par la décision de fermeture.
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