Saadallah exclut la commercialisation de ces marchandises de Chine, puisque, selon lui, elles ne peuvent concurrencer les produits tunisiens. « Les œufs tunisiens sont disponibles en quantité suffisante et à des prix accessibles », souligne-t-il.
D’autre part, le président de l’ODC met en garde contre les circuits parallèles de distribution. « Les bureaux régionaux de l’ODC sont mobilisés pour sensibiliser les consommateurs sur l’importance d’éviter ces circuits. Si la moindre anomalie est constatée, l’Organisation se mobilisera en conséquence », explique-t-il.
Il rappelle, par la suite, que les œufs chinois ont pu pénétrer sur les marchés égyptiens et indiens. « L’État tunisien est prêt. Et puis, le consommateur tunisien est averti. Il est essentiel d’éviter les circuits parallèles de distribution, et les prix alléchants qu’ils pratiquent », martèle encore le président de l’ODC.