C'est l'effet du conflit russo-ukrainien. C'est du moins ce que propose le groupe financier américain Bloomberg pour justifier ses conclusions. En effet dans un récent rapport, élaboré par ce groupe, la Tunisie ferait partie d’une liste restreinte de quatre pays (Salvador, Pakistan et Egypte) qui sont exposés au risque de défaut de paiement de leurs dettes.
Le rapport de met en lumière la situation économique de cinquante pays émergents, affectés par la crise russo-ukrainienne. Cela n'est pas très réconfortant.