De source directe, il s’avère que deux agents de l’ordre blessés sommairement mais perdant beaucoup de sang n’ont pas pu être sauvés à cause de l’absence de sang dans les hôpitaux de Ben Gardene. Etonnant lorsqu’on sait que des « Conseils ministériels restreins sont organisés et médiatisés à l’extrême pour dire que « tout est prévu ».
Comment se fait-il qu’en pleine guerre, les zones à risque ne jouissent pas d’une attention particulière dans des domaines aussi importants que la santé de nos agents de l’ordre?