La jeune docteure en sciences de l’information et de la communication, Nouha Belaïd, a été élue membre du conseil d’administration de la Fédération internationale des journalistes scientifiques (WFSj) basée au Canada.
Nouha Belaïd, journaliste scientifique originaire de la ville de Kalaâ kébira, ne cesse de briller grâce à sa persévérance, son dynamisme et son sérieux. Lors de ces élections, notre représentante a réussi à s’imposer bien que n’étant pas soutenue ni par “la région arabe” qui ne compte pas des membres actifs dans cette organisation ni même par aucune équipe consultative.
Il s’agit pour cette chercheuse qui a commencé sa carrière en 2008 en tant que journaliste et responsable des relations publiques et qui a été sélectionnée, en 2018, par la confédération suisse parmi les 150 « Young Change Makers », d’”un grand défi” qu’elle a relevé avec brio.
Pour Nouha Belaïd, la diplômée de l’Institut de presse et des sciences de l’Information, IPSI, “Le rêve s’est agrandi et a pris plus d’ampleur que jamais auparavant ”. “Ensemble, nous aborderons les problèmes de santé, relèverons les défis liés au changement climatique, naviguerons dans les controverses liées à l’IA et traiterons diverses questions liées à la science » souligne Nouha Belaïd.
Il est à souligner que 50 candidats, issus de plusieurs pays du monde, étaient en lice dont neuf seulement ont atteint la phase finale. Six d’entre eux ont été élus en tant que membres du conseil de cette organisation. Il sont issus du Canada (pays du siège), la Grande Bretagne, la Tunisie, la Colombie, le Népal, le Portugal et le Mexique,
Rappelons que la WFSJ est une organisation non gouvernementale à but non lucratif qui représente 67 associations de journalistes scientifiques et regroupe 10 000 journalistes scientifiques et technologiques du monde entier.
La WFSJ s’est fixé comme objectifs de faire progresser le journalisme scientifique en tant que pont entre la science, les scientifiques et le public, de promouvoir le rôle des journalistes scientifiques en tant qu’acteurs clés de la société civile et de la démocratie et d’améliorer la qualité des reportages scientifiques, promouvoir les normes et soutenir les journalistes scientifiques et technologiques du monde entier.