Économie sous tension : L’Occupant enregistre sa plus forte contraction en quatre ans

L’économie de l’Occupant menant un génocide contre les Palestiniens depuis plus de quatre  mois a connu une décélération au cours du dernier trimestre de 2023, principalement en raison d’une forte baisse de la consommation privée. La dégringolade de la conjoncture de l’État voyou est attribuée en grande partie aux effets de l’extermination systématique et programmée des Palestiniens étant donné qu’une chute spectaculaire de 19,4 % de la croissance économique en glissement annuel a été affichée. Les analystes s’attendaient évidemment à une contraction, mais elle s’est révélée plus importante que prévu, marquant la plus forte baisse en près de quatre ans selon les estimations initiales du Bureau central des statistiques de l’occupation.
Le recul de production de richesse s’explique en partie par l’affaiblissement de l’activité commerciale, les travailleurs étant mobilisés pour commettre des actes génocidaires en Palestine la guerre. Au demeurant, il sied de mettre en avant la forte chute de la consommation privée, en déclin de 26,9 %, et des investissements des entreprises, en baisse de 67,8 %. Les exportations se sont également résorbées de 18,3 % et les importations de 42 %.
Par ailleurs, l’Occupant a dû augmenter ses dépenses de manière significative, enregistrant une augmentation de 88,1 %, principalement pour financer les dépenses liées à ses actes génocidaires. Bien que la conjoncture de l’Occupant ait enregistré une croissance de 2 % pour l’ensemble de l’année 2023, ce chiffre reste en net recul par rapport à la croissance de 6,5 % enregistrée en 2022.
La semaine dernière, Moody’s, une des principales agences de notation, a abaissé la note de crédit de l’Occupant, soulignant les conséquences négatives du génocide palestinien sur les institutions et les finances publiques du pays. Les perspectives économiques et le risque politique ont été cités comme des facteurs majeurs dans cette décision.