ELECTIONS U.S., Donald Trump, cauchemar de l’establishment, remporte sa 3e victoire.

Trump, qui  veut rayer de la carte les villes aux mains de Daech, avance inexorablement vers l’investiture républicaine.

Donald Trump est plus que jamais en tête dans la course à l’investiture du parti Républicain pour le scrutin présidentiel de novembre. C’est inquiétant pour un establishment qui ne sait plus comment arrêter l’ascension du terrible milliardaire.
En guise de programme, Trump veut « redonner à l’Amérique son lustre d’antan » en la protégeant de l’immigration mexicaine et de l’économie chinoise. Il prône ouvertement la torture des suspects de terrorisme et veut détruire les villes aux mains de Daech en les rayant de la carte. Tout cela séduit les électeurs républicains nourris depuis des décennies au leadership américain sur le monde et à la diabolisation de l’adversaire. Mais ce qui tranche franchement avec l’establishment U.S., c’est la position de Donald Trump sur le dossier syrien : il considère que Poutine fait du bon travail et ne rate pas une occasion de lui lancer des fleurs, ce qui provoque de l’urticaire chez les faucons qui s’arrachent les ailes.
En fait, Trump, qui finance lui-même sa campagne et avance très sûrement vers la victoire, échappe aux tenants de « l’ordre établi », qui n’ont pas hésité, la semaine dernière, à lancer le pape lui-même dans la course. Ce dernier a été jusqu’à traiter Trump de « non chrétien ». Mais rien n’y fait et cette nouvelle victoire au Nevada prouve définitivement que Trump a le vent en poupe. Son succès commence même à toucher le vieux continent : les soutiens de Donald Trump en France ont déclaré hier être séduits par «un véritable discours de droite».

 

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