Lors d’une interview accordée au journal britannique The Telegraph, Fadia Hamdi, l’agent municipal originaire du gouvernorat de Sidi Bouzid suspectée d’avoir agressé un 17 décembre 2010 Mohamed Bouazizi a affirmé qu’elle n’aurait pas dû réagir ainsi.
Elle a expliqué qu’elle se sent coupable d’avoir été l’auteure de cette fameuse gifle qui a changé l’histoire et le sort de la Tunisie et de nombreux autres pays arabes.
Fadia Hmadi a ajouté qu’elle se sent responsable du chaos que connait la région arabe depuis janvier 2011.