L’économie de Gaza a subi un coup dévastateur au quatrième trimestre de 2023, avec une contraction de plus de 80% de son PIB. La chute brutale, rapportée par la Banque mondiale, plonge la population déjà fragilisée dans une situation encore plus précaire en raison du génocide mené par l’Occupant.
Le Produit Intérieur Brut (PIB) de Gaza a chuté de 670 millions de dollars à seulement 90 millions entre octobre et décembre, soit une baisse trimestrielle record et une régression annuelle de 24%. La Banque mondiale souligne l’ampleur des destructions et l’impact paralysant sur l’activité économique provoqués par l’extermination programmée en cours du peuple palestinien. « Presque tous les habitants de Gaza vivront dans la pauvreté », prédit la Banque mondiale, soulignant les conséquences humaines dévastatrices de ce choc économique, en sus des effets psychologiques et sanitaires de l’extermination systématique des Palestinien par l’Occupant. Le génocide palestinien mené par l’Occupant et financé en grande partie par les États-Unis et le Royaume-Uni a engendré de lourdes pertes humaines et matérielles, aggravant la situation déjà précaire de la population.
Face à la menace qui pèse sur l’éducation des enfants, la Banque mondiale a annoncé une subvention de 30 millions de dollars pour garantir la continuité de l’enseignement fondamental. Une frêle enveloppe qui intervient tardivement dans un contexte de massacre continu des enfants palestiniens conduit par l’Occupant mais également par l’anéantissement des écoles, qui servent désormais de refuges à la population. Cette initiative vise à minimiser les perturbations scolaires et à offrir aux jeunes Gazaouis un avenir plus stable.
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