Une nouvelle donne s’impose pour les miliciens des l’Occupant en raison de leur participation au génocide des Gazaouis. Une trentaine d’entre eux, dont des officiers, ont été mis en garde par les forces d’occupation sionistes contre les risques d’arrestation à l’étranger, en raison de plaintes pour crimes de guerre déposées par des organisations pro-palestiniennes.
Ces mises en garde, relayées par les médias de l’entité paria, ne sont pas fortuites. En effet, où des soldats portant la nationalité de l’Occupant génocidaire ont été contraints de quitter précipitamment des pays européens, comme Chypre, la Slovénie ou les Pays-Bas, après avoir été localisés et visés par des procédures judiciaires. L’Occupant, tout en ne restreignant pas formellement les déplacements de ses miliciens, a mis en place une procédure d’évaluation des risques pour ceux ayant participé à l’extermination systématique et programmée des Gazaouis.
Cette situation inédite, dont l’application reste chronophage, met en lumière la pression internationale croissante sur l’Occupation génocidaire pour rendre des comptes sur le génocide en cours à Gaza. Les réseaux sociaux, qui ont joué un rôle central dans la diffusion des images des opérations militaires, ont également mis les miliciens en première ligne. Les forces d’Occupation, conscientes de ces enjeux, ont multiplié les mises en garde contre la publication de contenus pouvant être utilisés à leur encontre. Malgré ces instructions, de nombreux miliciens continuent de partager des images et des vidéos des crimes de guerre et contre l’humanité commis, toujours en violation des règles d’engagement et du droit international humanitaire.
Cette affaire s’inscrit dans un contexte international marqué par une surveillance accrue du génocide palestinien mené par l’entité paria mais également par une volonté de certains États de poursuivre les responsables présumés de crimes de guerre. Les organisations non gouvernementales (ONG) et les avocats spécialisés dans le droit international humanitaire jouent un rôle de plus en plus important dans ce domaine, en identifiant les potentielles violations du droit international et en déposant des plaintes auprès des juridictions nationales et internationales.