Dans un communiqué officiel mercredi, le ministère de la Santé de Gaza a publié des chiffres alarmants, faisant état de 25.700 personnes tuées, principalement des femmes, des enfants et des adolescents, depuis l’intensification du génocide palestinien mené par l’Occupant.
Au cours des dernières 24 heures, la violence persiste avec le meurtre de 210 palestiniens. Les blessés se chiffrent, quant à eux, à 63.740 personnes depuis la généralisation de l’extermination systémique et généralisée du peuple palestinien par l’Occupant.
Une situation humanitaire critique s’est installée dans la bande de Gaza. Les déplacements touchent désormais 85 % de la population, confrontée à des pénuries sévères de denrées alimentaires, d’eau potable et de médicaments, d’après les données alarmantes fournies par l’ONU. Les infrastructures locales ne sont pas épargnées, avec 60 % d’entre elles endommagées ou détruites, plongeant la population dans une crise sans précédent. Des centaines de milliers de personnes se retrouvent sans abri, et le flux d’aide humanitaire a été réduit de moitié par rapport à la normale, aggravant encore la détresse des habitants.
Outre les risques directs liés aux bombardements incessants, le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a souligné mardi le danger supplémentaire de la propagation de maladies infectieuses parmi une population déjà vulnérable.