Alors que certains pays arabes ne voient aucun inconvénient de maintenir la normalisation avec l’entité sioniste au moment où ce dernier ne cesse de commettre des crimes de guerre dans la Bande de Gaza, la Bolivie, un pays situé à des milliers de kilomètres de la région, décide de rompre ses relations avec ce qu l’a qualifié en 2014 de “l’Etat terroriste” qui « commet des crimes contre l’humanité », selon son vice-ministre des Affaires étrangères lors d’une conférence de presse tenue ce mardi 31 octobre.
Cette décision louable et largement saluée par les peuples arabe survient en signe de contestation contre les massacres que la machine de guerre israélienne commis quotidiennement au su et au vu d’une communauté internationale lâche et des dirigeants arabe complices.
Par ailleurs, le président de la Bolivie, Luis Arce, avait dénoncé, le 21 octobre, le bombardement israélien de l’hôpital de Gaza et exigeait un cessez-le-feu immédiat.
Luis Arce avait écrit sur les réseaux sociaux : « Nous condamnons dans les termes les plus énergiques le bombardement de l’hôpital de Gaza, qui constitue un crime de guerre, faisant des centaines de morts et de blessés..”
Rappelons que le pays Sud Américain avait déjà pris une mesure pareille en 2009 à la suite de l’attaque contre Gaza avant que les relations ne soient de nouveau restaurées en 2020 par la présidente Jeanine Anez.