Le chroniqueur Haïthem Mekki et l’ex-directrice de l’Institut de presse et des sciences de l’information (IPSI), Salwa Charfi, ont été laissés en liberté après leur comparution, ce vendredi 21 mars, devant la brigade centrale de lutte contre les crimes liés aux technologies de l’information et de la communication, rendant compte de la Garde nationale de l’Aouina.
Cette affaire fait suite à un post Facebook partagé par Mekki et Charfi, évoquant une possible poursuite judiciaire contre une ancienne ministre (NDLR : récemment limogée), selon les déclarations de l’avocate Saïda Garrach à Mosaïque FM.