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Hatem El Euchi a publié mercredi 11 novembre un post au début duquel il rappelle que plus de 700 jours se sont écoulés depuis que Kaïs Saïed a accédé à la présidence de la République, et au cours desquels ses opposants ont vainement cherché une erreur qu’il aurait commise. « Mais ils n’ont rien trouvé », écrit l’ancien ministre des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières au gouvernement Habib Essid.
« Il y a des gens qui ont essayé de monter l’opinion publique contre le président en avançant qu’il est un dictateur, et que tous les pouvoirs se trouvent rassemblés entre ses mains. Ils ne savent pas qu’après les calamités des dix dernières années de vaches maigres, les gens sont psychologiquement prêts à accepter n’importe quel système de gouvernement. Ils prétendent qu’un citoyen était mort suite aux agressions des services sécuritaires. Mais une fois leur histoire a échoué, voilà qu’ils affirment qu’il était mort par inhalation de gaz lacrymogène. Quand les résultats préliminaires du médecin légiste ont été publiés, confirmant une mort naturelle, ils ont vite tenté de se rattraper: « Attendons les résultats définitifs de l’autopsie ! ».
« Une fois de plus, l’échec était leur destin, relève Hatem El Euchi. Le président Kaïs Saïed apparaîtra demain comme d’habitude, ne se souciera guère d’eux, et continuera sa guerre contre la corruption et à parler de la même manière. Nous attendrons donc une nouvelle histoire la semaine prochaine de leur part, et avec elle, la position de certains médias connus pour leur hostilité envers le président. Mais viendra le tour de tous ceux qui ont commis des crimes au nom de ce pays dans tous les secteurs », conclut l’ex-ministre.
H.A.