Des photos prises par un citoyen du département des archives de l’hôpital universitaire de Sahloul témoignent d’une anarchie administrative, d’une absence totale de conscience professionnelle mais aussi morale du personnel.
Les archives sont dotées de valeurs scientifique, légale et administrative. Elles garantissent la confidentialité des données, l’historique médicale mais aussi fournissent des informations concernant le personnel.
Les archives de cet hôpital sont désormais un dépôt où sont entreposés des documents sans aucun traitement ni respect des conditions de sécurité.
Ceci renvoie-t-il à l’absence de structures hospitalières dédiées à cette activité ou plutôt à une politique nationale d’archivage obsolète?