D’après ce même communiqué, ces dossiers de corruption portent sur des crimes de détournement de fonds publics, de malversations dans des résultats des concours et recrutements dans le secteur public, de malversation dans des marchés publics, d’agression et de dénigrement de dénonciateurs de corruption, pots de vin etc.
L’INLUCC a par ailleurs démenti les informations circulant sur certains médias selon lesquelles elle aurait reçu de la part de la présidence du gouvernement un budget de 10 milliards au titre de l’année 2018, indiquant que la somme qui lui a été allouée ne dépasse pas les 2,5 milliards.