« La Tunisie doit obtenir de solides assurances des pays occidentaux pour que ces frappes n’aggravent pas la situation dans le pays », a indiqué mercredi 17 février 2016, le président de la République Béji Caïd Essebsi dans une interview accordée à « Swissinfo ».
« Les éventuelles frappes militaires contre l’Organisation de l’Etat islamique (Daech) en Libye devraient être cadrées et étudiées, sinon elles vont aggraver la situation en Tunisie et amplifier les dangers », a-t-il ajouté, rapporte l’agence TAP.