Le gouvernement entamera aussi des négociations et je suis sûr que nos amis européens comprendront la situation étant donné que le soutien de ces entreprises exportatrices n’a rien à avoir avec les paradis fiscaux. Il y a des pays européens qui sont de vrais paradis fiscaux mais bizarrement ils ne font pas partie de cette liste. Les États-Unis accordent même des subventions à ce genre d’entreprises, la Tunisie n’est pas allée jusqu’à subventionner ces entreprises, elle les soutient dans la limite de ses moyens pour protéger son économie et nous n’avons pas une autre alternative. Nous allons faire une pression diplomatique et nous allons réussir à convaincre la commission européenne.
Nous allons sortir de cette liste, tous les indices le montrent bien. Nous sommes là pour servir les intérêts de notre pays et non pas ceux de l’union européenne. »a-til expliqué.