La Bolivie rompt ses relations avec Israël et d’autres pays d’Amérique Latine haussent le ton

Flag of Palestine

Les États de l’Amérique Latine font partie des très rares pays à avoir vu en l’Occupant un criminel génocidaire ayant violé le droit international et humanitaire et qui est à l’origine d’une boucherie inédite en Palestine. La Bolivie vient d’annoncer qu’elle a rompu ses relations diplomatiques avec le gouvernement sioniste et criminel en Israël.

C’est la décision qui a été prise par Luis Arce, président de Gauche. Selon le ministre bolivien des Affaires Étrangères, Freddy Mamani, c’est « un signe de rejet et de condamnation de l’offensive militaire israélienne agressive et disproportionnée menée dans la Bande de Gaza ».

Aussi, la Bolivie demande à ce que les agressions de l’Occupant cessent immédiatement. Elle a également décidé d’envoyer de l’aide humanitaire aux Palestiniens. Il faut rappeler que ce n’est pas la première fois que la Bolivie décide de rompre ses relations avec l’Occupant. La première fois était en 2009 sous la présidence d’Evo Morales. Là encore, c’était une façon de dénoncer les attaques israéliennes contre Gaza.

D’autres pays d’Amérique Latine a fermement réagi aux agissements de l’Occupant criminel et génocidaire. La Colombie et le Chili, pour leur part, ont rappelé leurs ambassadeurs en Israël. Leur objectif est de protester contre les agressions des sionistes contre la Palestine. Les deux pays ont dénoncé « un massacre » et « des violations du droit humanitaire ».

« J’ai décidé de convoquer notre ambassadrice en Israël (Margarita Manjarrez). Si Israël ne cesse pas le massacre du peuple palestinien, nous ne pouvons pas rester », avait alors déclaré le président colombien, Gustavo Petro, sur X.

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