23
Les négociations prolongées de la coordination du sit-in de Kamour la nuit dernière avec un certain nombre de ses partisans et de chefs des points de sit-in ont fixé des délais de 48 heures pour que le gouvernement interagisse avec ses mouvements qui durent depuis trois ans et dont les dernières confrontations violentes ont été la manifestation la plus récente de la tension.
Khelifa Bouhaouach, membre de la coordination de Kacour a exprimé à l’agence TAP son fort désir de protéger le mouvement de la jeunesse dans la région contre tout ce qu’il a appelé « des interactions et des polémiques » qui ne sont pas bénéfiques, manifestant le voeu que le mouvement prenne ses distances par rapport à la guerre des mots et des leaders et privilégie ce qui profite aux gens et sert la cause de la lutte pour l’emploi et le développement.
HA.