La Tunisie et la Chine s’opposent à l’ingérence dans les affaires intérieures sous prétexte des droits de l’homme

ChinechineLe président Kaïs Saïed et le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi ont réaffirmé leur opposition à l’ingérence dans les affaires intérieures d’autres pays sous prétexte de droits de l’homme et de démocratie.

Dans une déclaration commune publiée lundi, les deux dirigeants ont condamné l’unilatéralisme, la politique de puissance et l’hégémonie. Ils ont également réaffirmé leur attachement au multilatéralisme et à la coopération internationale.

Le ministre a déclaré que la Chine s’opposait à l’imposition des valeurs d’un pays à un autre, ainsi qu’à la transformation d’autres pays selon ses propres normes. Il a également condamné l’ingérence dans les affaires intérieures d’autres pays sous prétexte des droits de l’homme et de la démocratie.

Le président tunisien a pour sa part déclaré que l’histoire du colonialisme ne pouvait se répéter et que le monde ne pouvait revenir à une hégémonie unipolaire. Il a également condamné le double standard et l’ingérence dans les affaires intérieures d’autres pays sous la bannière de la démocratie et des droits de l’homme.

Les deux dirigeants ont également exprimé leur volonté de travailler ensemble pour promouvoir une mondialisation économique équitable et inclusive. Ils ont également souligné leur engagement à sauvegarder les valeurs communes de l’humanité, à défendre l’équité et la justice internationales et à construire une communauté de destin.

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