Dans l’entretien accordé dimanche 12 mai à France 24, le chef du gouvernement, Elyès Fakhfakh a révélé que le premier pays auquel il compte rendre une visite officielle dès la maîtrise de la crise sanitaire mondiale du COVID-19 sera l’Algérie.
Par ailleurs, répondant à la polémique en cours sur le nombre de ses conseillers et les critères de leur choix, Fakhfakh a assuré qu’il savait parfaitement ce qu’il faisait.
« J’ai choisi de travailler avec douze conseillers, ce qui représente un parmi les effectifs de conseillers les moins fournis à travers le monde, a-t-il martelé. Chaque chef de gouvernement a sa propre équipe. Le seul critère qui a présidé à ces désignations reste l’efficacité, la logique et le sens des responsabilités en vue d’assurer un travail souple et des relations sereines entre le gouvernement et le parlement. Sachant que la Tunisie se trouve dans une situation impliquant la révision de beaucoup de textes de loi », explique le chef du gouvernement.
H.A.