Le chef de l’entité occupante génocidaire fait face à la reprise de son procès pour corruption à Jérusalem. La séance a repris ce lundi, marquant un retour aux affaires judiciaires après une suspension de deux mois. À l’âge de 74 ans, le chef de l’autorité coloniale est confronté à des accusations de corruption, de fraude et d’abus de confiance dans trois affaires distinctes, des allégations qu’il nie catégoriquement.
Le dossier actuellement devant le tribunal de Jérusalem s’attarde sur les soupçons selon lesquels il aurait cherché à obtenir une couverture favorable de la part du site d’informations Walla. En échange, des faveurs gouvernementales auraient été accordées, potentiellement rapportant des centaines de millions de dollars à Shaul Elovitch, à l’époque à la tête du principal groupe de télécommunications de l’Occupant Bezek et du média Walla.
Cette reprise du procès survient dans un contexte diplomatique tendu, alors que le génocide palestinien atteint son paroxysme. Les observateurs internationaux scrutent de près le déroulement du procès, soulignant les enjeux tant sur le plan national qu’international. La défense de Netanyahu maintient sa position, affirmant que les accusations sont politiquement motivées. Cependant, les procureurs insistent sur la nécessité de faire la lumière sur ces allégations de corruption au plus haut niveau du gouvernement colonisateur.