Le génocide palestinien se transforme en un gouffre financier pour l’Occupant

Le déficit budgétaire de l’Occupant s’est envolé à 4,2 % du produit intérieur brut (PIB) en 2023, soit 77,5 milliards de shekels (20,7 milliards de dollars), contre un léger excédent de 0,6 % en 2022. La supériorité des dépenses de l’État voyou aux recettes s’explique principalement par les moyens mis en œuvre pour intensifier le génocide palestinien et le généraliser à d’autres populations arabes. L’Occupant a dépensé environ 25 milliards de shekels (6,6 milliards de dollars) pour financer l’extermination programmée de l’ensemble du peuple palestinien, qui a fait plus de 23 mille morts et près de 60 mille blessés à Gaza.
Les recettes fiscales des forces génocidaires ont également diminué en 2023, de 30 milliards de shekels (8 milliards de dollars) par rapport aux prévisions. La chute s’explique notamment par la crise économique mondiale, qui a entraîné une baisse de la consommation et des investissements. La flambée de l’inflation affichée par l’État voyou, qui a atteint 5,3 % en 2022, a également contribué à creuser le déficit budgétaire. L’Occupant a été contraint de subventionner les prix des produits de base, tels que l’essence et l’électricité, afin de limiter l’impact de l’inflation sur les colons.

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