Suite à une altercation avec un agent sécuritaire, le journaliste Moez Jemîi a été arrêté le soir du 17 septembre 2016 à Gabès. Un fait qui n’a pas manqué de faire agir le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT). Pendant 4 heures, le journaliste a été interdit de contacter ses proches. Il a même été privé de son droit de disposer d’un avocat. Deux choses que le SNJT a fermement dénoncées
Dans une tentative d’obtenir la libération de Moez Jemîi, le SNJT est entré en contact avec la présidence du gouvernement. Notons que le journaliste sera transféré au tribunal de Gabès.