Dans un communiqué rendu public dans la soirée du dimanche 31 mars 2019 a fermement dénoncé l’agression dont a fait l’objet le meeting populaire du parti destourien libre dans la ville de Sidi Bouzid. Le même communiqué a exprimé son refus du recours à la violence contre n’importe quel rival politique indépendamment de son idéologie. Il a également mis en garde contre ces pratiques considérant qu’elles portent atteinte à la liberté de manifestation politique et à la liberté d’expression. Il a ajouté qu’il s’agit d’une menace pour le processus démocratique pour lequel a opté le peuple tunisien au lendemain du 14 janvier 2011.