Après avoir signé en octobre dernier un protocole d’accord pour la mise en place du programme « Education numérique » dans les écoles primaires et secondaires publiques en Tunisie, Orange Tunisie, avec le soutien du ministère de l’Education, a déployé au sein de l’Ecole primaire Chorfech 24 de Sidi Thabet, des contenus éducatifs sous forme de kit numérique (serveurs Raspberry et tablettes) qui viendront consolider et enrichir l’apprentissage des élèves.
Ce projet, tout à fait innovant, fait de cette école la première à être équipée d’outils numériques au service de la pédagogie et de l’enseignement scolaire de 72 élèves.
L’objectif du programme ambitieux « éducation numérique » est de mettre gratuitement à disposition des élèves du primaire et du secondaire, des contenus éducatifs sous forme de kit numérique comprenant deux serveurs Raspberry Pi et 50 tablettes.
Ces contenus sont consolidés en collaboration avec le ministère de l’Education
Lors de l’inauguration de l’école Chorfech 24 de Sidi Thabet, le ministre de l’Education, Néji Jalloul, a expliqué que « ce projet, mené en partenariat avec Orange Tunisie, vient consolider l’ambition du gouvernement tunisien de faire du numérique une véritable opportunité pour l’éducation, ouvrant aux jeunes élèves de nouvelles perspectives de développer de nouvelles compétences et donc de pouvoir apprendre autrement ».
Pour sa part, Brigitte Audy, Secrétaire générale de la Fondation Orange, a souligné que la fondation a fait « le choix de soutenir Orange Tunisie dans le déploiement de ce programme d’éducation car nous sommes convaincus que la Tunisie a tous les moyens de montrer l’exemple pour faire du numérique un formidable levier de développement pour l’éducation, aussi bien dans le cycle primaire que secondaire ».
De son côté Asma Ennaifer, Directrice relations extérieures, RSE et mécénat d’Orange Tunisie, a précisé que « ce projet commun peut aider à réduire les inégalités scolaires et lutter contre le décrochage voire la démotivation des élèves, notamment dans les régions les plus reculées, très souvent par manque de moyens, et finalement permettre à chacun de s’ouvrir sur son environnement et son époque ».
M.J