La présidence du Parlement a considéré que la sortie de la crise devrait passer par l’annulation immédiate des mesures exceptionnelles et l’engagement d’un dialogue national global pour déterminer conjointement l’avenir du pays.
Dans ce même communiqué, elle a estimé que tout amendement de la constitution devrait se faire par le biais de procédures constitutionnelles, tout en exprimant son rejet de toute atteinte à cette approche définie par la constitution de 2014.
Elle a également dénoncé la politique d’extorsion, de chantage et de restriction, considérant qui est devenue, selon elle, un comportement quotidien et une approche politique de facto. Dans ce contexte, elle a exprimé son rejet des procès sélectifs prenant pour cible des élus gelés.
Elle a souligné que les députés se réserve le droit de continuer à militer pour défendre la démocratie et le parlement élu par le peuple tunisien.