Le parti Ettahir sort une fois encore la carte de la provocation et porte à nouveau atteinte aux institutions de l’État. Cette fois-ci, ce sont les sécuritaires qui sont visés. Dans une conférence de presse tenue mardi 10 janvier, Imed Hadouk, membre du bureau politique, a appelé à la « désobéissance sécuritaire« . C’est sans doute un nouveau terme inventé par le parti, qui prône, à présent, le non respect des instructions des sécuritaires.
Imed Hadouk poursuit sur sa lancée en affirmant que tout sécuritaire qui aura délibérément arrêté un membre du parti sera dénoncé. Plus grave encore : Mohamed Chouikha, membre de l’instance administrative d’Ettahrir, considère de son côté que les jeunes, partis pour soutenir la révolution syrienne, n’ont rien à voir avec les terroristes, affirmant que les véritables terroristes sont ceux qui ont choisi de soutenir Bachar Al-Assad, les États-Unis et tous ceux qui ont participé à l’assassinat de Mohamed Zouari le 15 décembre 2016.
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