Dans un communiqué publié mardi 18 janvier, le Parti destourien libre affirme avoir écrit au secrétaire général des Nations-Unies, Antonio Guterres, pour protester contre « la politique de l’autorité tunisienne de parrainage et promotion du terrorisme », accusant l’instance nationale de lutte contre le terrorisme de « négligence, de dissimulation et de retard dans la prise de décisions pour inclure des associations ikhwanjias dans la liste des personnes, organisations et entités associées aux crimes terroristes. »
Le PDL a également tenu le président Kaïs Saïed et le gouvernement actuel « responsables de la violation des résolutions du Conseil de sécurité et des conventions internationales conclues par la Tunisie dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, et de l’incapacité à maintenir la sécurité du pays sur fond d’attaque et de ciblage du parti ».
H.A.