Les intervenants ont souligné la nécessité d’intégrer l’éducation sexuelle complète dans les programmes éducatifs pour permettre aux jeunes et aux adolescents d’éviter les comportements à risque et les maladies sexuellement transmissibles.
La représentante du Fonds des Nations Unies pour la Population en Tunisie Rym Fayala, considère que le renforcement de l’éducation sexuelle complète des jeunes et des adolescents est une source de bien-être et un moyen de garantir le droit à une bonne santé et à une vie saine.
Pour sa part, le directeur de l’Institut arabe des droits de l’Homme, Abdelbasset Belhassen, s’est aligné sur l’approche développée par Rym Fayala soulignant qu’il s’agit d’une approche de premier ordre vu qu’elle consacre la liberté et la dignité du corps humain, en tant qu’important droit humain.