Le passage frontalier de Dhehiba-Wazen, qui relie la Tunisie à la Libye, est actuellement paralysé par une grève des chauffeurs de poids lourds libyens. Cette grève, qui dure depuis plusieurs jours, a entraîné une baisse significative du trafic commercial entre les deux pays.
Le nombre de camions qui traversent le passage frontalier est tombé à environ 10 par jour, contre une moyenne de 100 par jour avant la grève. Cette baisse du trafic a un impact négatif sur l’économie des deux pays.
Les chauffeurs libyens protestent contre plusieurs revendications sectorielles, notamment des salaires plus élevés, des conditions de travail plus sûres et une meilleure protection sociale. Ils demandent également la réouverture du passage frontalier de Ras Jedir, qui a été fermé par les autorités libyennes en 2021.
Le passage frontalier de Dhehiba-Wazen, qui relie la Tunisie à la Libye, est un axe commercial important pour les deux pays. Il est le principal passage frontalier terrestre entre les deux pays, et il est utilisé par des milliers de personnes et de véhicules chaque jour.
La baisse du trafic commercial au passage frontalier de Dhehiba-Wazen a des répercussions importantes sur l’économie des deux pays. Sur le plan économique, la baisse du trafic entraîne une baisse des ventes, des profits et des emplois. Cela peut être particulièrement problématique pour les entreprises qui dépendent du trafic pour leur activité, telles que les entreprises de transport, le commerce de détail et le tourisme