« Les influences extérieures sur le processus transitionnel dans le monde arabe », dévoilés par 25 experts en Tunisie.

Dr. Mehdi Mabrouk

Les travaux de la 7ème conférence annuelle des problèmes de la démocratie et de la transition démocratique, organisée par le Centre arabe des recherches et de l’étude des politiques (Carep), sous le thème: «les facteurs externes et les problématiques de la transition démocratique dans le monde arabe depuis 2011 », ont démarré, le 21 septembre 2018 à l’hôtel Russelior Hammamet. 
25 chercheurs et experts du monde arabe y ont discuté la question de l’ingérence étrangère dans les révolutions arabes.
Le président de la filiale tunisienne du Carep, Dr Mehdi Mabrouk a ouvert les débats en énonçant une multitude d’éléments ayant influencés la transition démocratique, à leur tête, «la lutte pour le pétrole».
«Uniquement les mécanismes de la démocratie et quelques autres éléments internes doivent impacter le processus transitionnel dans un climat de conflit des civilisations, de suivisme et de la théorie du centre-périphérie  dans ses corrélations avec les alliances et les complications internes », a ajouté Mehdi Mabrouk.
A leur tour, les participants ont focalisé sur l’impact des forces régionales et internationales sur les révolutions arabes et leur volonté d’orienter le processus de transition vers la résurrection des anciens régimes totalitaires.
Le professeur des sciences politiques, l’égyptien, Abdelfattah Madhi, a relevé, de son côté, que la Tunisie demeure une lueur d’espoir malgré les divers défis auxquels elle est entrain de faire face et que, de toutes façons, toute transition passe par de gros challenges.     

 

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