Quelques heures après son arrivée, le gouvernement libyen de salut national, non reconnu par la communauté internationale et siégeant à Tripoli a sommé mercredi 30 mars le chef du gouvernement d’union Fayez al-Sarraj de quitter la capitale libyenne.
Dans une allocution télévisée, Khalifa el-Ghwell, chef du gouvernement non reconnu, a dénoncé comme « illégal » le gouvernement de M. Sarraj, qui est soutenu par l’ONU, et affirmé qu’il doit « quitter » la capitale libyenne ou « se rendre », rapporte l’AFP.