Après la promulgation tant attendue par le Parlement de Libye de la loi électorale pour les élections présidentielles et parlementaires de décembre, la Cour Suprême (organe de représentation des Frères Musulmans) proteste avec véhémence et dit rejeter ces lois. Khaled Meshri, président de cette “Cour”, chef de la branche frériste et protégé d’Ankara annonce qu’il va publier ses propres lois électorales.
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