Dix morts suspectes ont été enregistrées en 2019 dans notre pays, à en croire Oussama Bouajila, chargé de la sensibilisation au sein de l’organisation mondiale contre la torture.
« Le modèle de gouvernance sécuritaire doit être révisé en sorte d’empêcher l’impunité, a-t-il insisté. Notre organisation s’évertue d’assurer la prise en charge des volets social et juridique des victimes de torture dans les quartiers et régions intérieures marginalisées. Nous allons mettre en oeuvre six programmes d’activité dans ces quartiers et régions où les relations entre les forces de l’ordre et les citoyens pêchent par un manque de bonne gouvernance », a-t-il relevé lors d’une conférence de presse tenue par l’OMCT.
H.A.