La Société civile réagit avec vigueur, déclarant que le Hezbollah lutte tous les jours — précisément contre le terrorisme — et que c’est une position calquée sur celle d’Israël qu’ont prise les ministres de l’Intérieur arabes.
D’ailleurs, à partir du Liban Hassen Narsrallah en personne avait rendu hommage au président Essebsi, à l’Etat, aux partis politiques et au peuple tunisien pour sa réaction digne et juste.
La question qui se pose désormais est celle de la position du Président de la République qui est, selon la Constitution, le véritable décideur en matière de politique étrangère.
Où se situe la souveraineté tunisienne dans tout cela?
Nous attendons les réactions des partis et organisations qui, la semaine dernière, avaient levé leurs boucliers.