Dans un post Facebook publié sur sa page, vendredi 5 août, l’homme d’affaires et ancien président de l’Étoile sportive du Sahel Ridha Charfeddine a dénoncé « la campagne de dénigrement » sur les réseaux sociaux à laquelle il fait face.
En effet, plusieurs pages Facebook et des sites d'information ont partagé une information portant sur des mandats d’amener à l’encontre de Ridha Charfeddine, PDG d’UNIMED, de la directrice générale de la santé et de la directrice générale du laboratoire national de contrôle des médicaments en rapport avec les affaires des stents périmés et du drame du Centre de néonatalogie Wassila Bourguiba de la Rabta qui remontent à 2016.
Ridha Charfeddine a souligné qu’il s’agit de rumeurs et de fausses informations suite auxquelles « j’ai fait des déclarations et des éclaircissements sur ma page Facebook et à travers plusieurs médias ».
« Je précise pour la énième fois, que ni moi ni mon entreprise, ne sommes concerné ni de près ni de loin par ces affaires », insiste Charfeddine.
Le PDG des laboratoires UNIMED, installés à Kalaâ Kébira, a rappelé que son entreprise n’est pas spécialisée ni dans la fabrication ni dans l’importation de ce genre de matériel médical.
Tout en incitant le public à se référer au site officiel du ministère de la Santé pour avoir une idée sur ces affaires, Charfeddine a rappelé également que l'anesthésiant périmé a été produit à l’étranger et importé dans le cadre d’un marché public. Lui et son entreprise, insiste-t-il, n’ont rien à voir avec cette affaire, de même pour l’affaire des bébés.
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