L’hôpital Al Marj (à 100 km de la ville de Benghazi) en Libye, a annoncé la mort d’une femme à cause d’une matière toxique dans le henné.
L’hôpital a également accueilli 3 autres femmes dans un état critique pour la même raison.
Notons que ce n’est pas la première fois qu’on ajoute des matières chimiques dangereuses dans le henné en Libye. Le ministère de la Santé libyen avait déjà affirmé que plusieurs femmes ont péri à cause du henné.
Il a également mis en garde contre l’utilisation de cette substance qui a engendré la mort d’au moins 58 femmes et l’intoxication de 103 autres depuis 2011.
Le ministère de la Santé a souligné qu’il est en train de collaborer avec les autres ministères pour organiser des ateliers et des campagnes de sensibilisation contre les dangers de l’intoxication au henné par l’ajout de produits chimiques, indiquant que les autorités gouvernementales ont annoncé depuis 2015 l’existence de matières chimiques additives dans le henné vendus sur les marchés.