Le chef de service de la Médecine légale à l’hôpital Charles Nicoles, Moncef Hamdoun nie le fait que l’enfant Yassine tué, mardi par un agent de l’armée, ait été violé par son tueur.
Dr. Hamdoun assure que selon les analyses, aucune trace de viol ou d’agression n’existe sur le corps de la victime. Le résultat des analyses indique uniquement qu’il a été égorgé à l’aide d’un morceau de verre.