Le condamné avait, auparavant, critiqué la descente de sécuritaires dans son domicile en février 2017, selon un communiqué du SNJT. Le Syndicat a appelé toutes les organisations, nationales et internationales, concernées par la liberté de la presse à être solidaires avec Salam Malik et à dénoncer ce qu’il a subi. Dans ce contexte, le SNJT exprime son total soutien au directeur d’e Djerid FM qui est, rappelons-le, le président de l’Union tunisienne des médias associatifs (UTMA). Ainsi, le Syndicat a exhorté les autorités à le libérer, précisant qu’il n’a rien d’un criminel.