Ces médicaments, poursuit l’institution, n’ont fait l’objet d’aucune note sur leur dangerosité dans les pays où ils sont commercialisés. Le ministère insiste, dans ce contexte, sur la nécessité d’utiliser ces médicaments raisonnablement et sans excès. « Les citoyens sont appelés à consulter un médecin ou un pharmacien avant d’avoir recours à un quelconque médicaments », rappelle l’institution.
Rappelons que l’étude en question a été menée sur près de 60 millions de personnes dans le monde. Elle pointe du doigt près de 28 médicaments.