Dans un post publié ce soir de dimanche 16 septembre, l’ingénieur principal à l’Institut national de météorologie, Mehrez Ghannouchi, a indiqué que les prévisions des précipitations dans cette période est très difficile. Pour Ghannouchi, tous les scénarios sont possibles d’autant plus que “les pluies en Libye n’ont pas été prévues par la plupart des modèles numériques. Prévoir l’écoulement de quantités dépassant 400 mm n’était pas envisagé. Cette situation a été un témoignage de la limite de la science face à la puissance de Dieu”, précise l’ingénieur.
Il convient de signaler que notre pays traverse une sécheresse préoccupante et que les Tunisiens attendent avec impatience la pluie notamment en cette période cruciale pour les grandes cultures.
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