«Inviter un personnage très douteux, dangereux et accusé d’embrigadement de milliers de jeunes tunisiens et de collaboration avec des parties terroristes dans les médias, est une forme de complicité, de promotion, de propagande et de blanchiment de ces personnages dangereux et nocifs pour le pays» fustige Moez Joudi dans un post publié sur son compte officiel Facebook.
Pour le président de l’association tunisienne de gouvernance, l’invitation de Habib Ellouz «est loin d’être de la liberté d’expression». «Les mêmes médias en question établissent des black list internes de personnalités interdites de passage ou d’invitation chez eux et qui sont nettement plus utiles et instructives pour les auditeurs !» a-t-il assuré.