Mohsen Dali: « Il n’était pas possible d’arrêter Makhlouf »

Le porte-parole du tribunal de première instance de Tunis 1 Mohsen Dali, a affirmé ce mercredi 17 mars 2021 que la femme fichée S17 a été libérée mais devrait comparaître devant le pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme. S’exprimant sur les ondes de Mosaïque Fm, il a précisé  que cette même personne fait l’objet de soupçons de terrorisme en attendant confirmation pour pouvoir la maintenir en état de détention. Il a ajouté que les enquêtes se poursuivent. Concernant le téléphone mobile ayant été glissé par la femme dans la poche de l’élu Seifeddine Makhlouf, Mohsen Dali a indiqué que s’il contenait bel et bien des preuves, il s’agit d’un crime.
Il a assuré que le contenu du smartphone pourrait être déterminé en dépit de son éventuelle destruction.
Par ailleurs, Mohsen Dali a mis l’accent sur la nécessité de réviser la loi liée au flagrant délit indiquant qu’une fois un élu est pris en flagrant délit, le Parlement pourrait ordonner son arrestation immédiate en dépit de l’immunité parlementaire dont il jouit.

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