Le porte-parole de la Cour d’Appel de Monastir, Ferid Ben Haja, indique dans une déclaration à l’agence TAP que l’affaire remonte à 2013, lorsque le chef d’entreprise a importé des produits de décoration de la Chine. Il a présenté, dans ce cadre, de fausses déclarations indiquant qu’il avait importé la marchandise d’Espagne. Une façon pour le chef d’entreprise, selon Ferid Ben Haja, d’éviter de payer les taxes douanières.
Le porte-parole de la Cour d’Appel de Monastir souligne, par ailleurs, que le chef d’entreprise en question payait ses transactions en devises sans l’autorisation de la Banque Centrale de Tunisie (BCT).