Prise entre le marteau d’être perçue comme étant en train de baisser les bras devant le président Kaïs Saïed et l’enclume de catalyser une « insurrection » au sein de ses bases dont une grande partie soutienne la démarche du président, l’UGTT a finalement tranché prudemment et sagement dans la question du référendum. La Centrale syndicale qui a exprimé depuis un certain temps son intention de ne pas boycotter le référendum a annoncé sa décision à travers un communique rendu public sur Facebook suite à la réunion du Comité administratif organisée samedi 2 juillet à Hammamet de laisser aux syndicalistes la liberté de participer au référendum du 25 juillet et de voter par oui ou par non.
M.A.B.S